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  1. mielb

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  1. Dans le genre médical, The Pitt est vraiment réussie (j'avais décroché d'Urgences avant d'y revenir vers la fin) et Noah Wyle n'y est pas pour rien ! Les médecins urgentistes américains disent que c'est la première série réaliste où ils se reconnaissent. Variety publie une interview de l'acteur de 53 ans. https://variety.com/2025/tv/news/noah-wyle-the-pitt-er-sequel-lawsuit-1236362824/
    5 points
  2. Ah qu'ils sont farceurs chez Marvel ! Vous ne rêvez pas : la vidéo qui présente la distribution pour Avengers: Doomsday dure plus de 5 heures ! Évidemment, il ne s'y passe pas grand-chose et vous pouvez donc la regarder par saut d'environ 30 minutes sans rien rater ou bien jeter un œil à l'article de Variety 😁 https://variety.com/2025/film/news/avengers-doomsday-cast-1235364637/
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  3. Bonjour @cocobzh Je me suis permis de déplacer ton post dans la section French du forum, où ta question a sa place. Encore que. Si tu lis plus haut Quelques règles du forum, la réponse est toute trouvée. Dans mon infinie bonté du vendredi matin après trois cafés, je te la livre : Voilà voilà. En te souhaitant une bonne journée, Tchuss !
    3 points
  4. J.J. Abrams sort une nouvelle série diffusée sur Max à partir du 15 mai, Duster, un polar situé dans les années 70, avec Josh Holloway (Lost, Colony) et Rachel Hilson (This is Us) dans le rôle de la première agente noire du FBI. https://variety.com/2025/tv/news/the-buccaneers-season-2-return-tv-news-roundup-1236340451/
    3 points
  5. Coincidence or not, someone posted subs for it on the site just yesterday. Give them a look and hopefully they'll match your video https://www.addic7ed.com/show/10098
    2 points
  6. Hi. Try these, @Englishsubtitles. History's Greatest Mysteries - 06x09 - The Amazing Events of the Book of Exodus.srt They're raw but that's a start.
    2 points
  7. Pour ceux qui l'auraient oublié, la saison 3 de Reacher est en cours de diffusion (bientôt achevée même) sur Prime et ça défoule toujours autant de le voir démolir les grands méchants. Surtout que, comme vous pouvez le voir ci-dessous, c'est une des rares histoires où Reacher est en bisbille avec un mec plus grand et plus costaud que lui (comme dit sa copine Neagley, la dernière fois qu'elle a vu un mec de deux fois sa taille, c'était au Mont Rushmore !) 😄 https://tvline.com/recaps/reacher-season-3-ending-explained-paulie-dies-quinn-beck-1235422934/
    2 points
  8. Hello ! Quand il est écrit "not for translation", cela signifie que lorsqu'il y a du texte anglais qui apparaît à l'écran (en dehors des sous-titres), dans la version à traduire, des lignes de sous-titres sont ajoutées aux dialogues. Par exemple : un SMS est vu en gros plan, il faudra insérer au moins un sous-titre pour le traduire. C'est aussi le cas des dialogues dans une langue non anglaise qui sont parfois incrustés dans l'image vidéo en anglais et qui nécessitent d'être traduits. Exemple : dans Shōgun, les dialogues en japonais sont sous-titrés en anglais dans certaines vidéos. La version anglaise des sous-titres "not for translation" comprend uniquement les sous-titres en anglais pour les dialogues en anglais. Pour les dialogues en japonais avec sous-titres incrustés, il faut ajouter des lignes "à traduire". Voilà, j'espère que tu sais maintenant pourquoi il y a parfois des versions "not for translation".
    2 points
  9. There is a video on YouTube with automatically generated subtitles.
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  10. https://www.opensubtitles.org/en/ssearch/sublanguageid-all/idmovie-2277546 The Subtitle Edit program can remove HI elements.
    1 point
  11. ca marche merci
    1 point
  12. 1 point
  13. That's all of them. Bandwidth is exhausted now. I hope it was worthwhile.
    1 point
  14. Index des posts de ce topic : - Italique - Majuscule accentuée - Chiffres et unités de mesure - La boîte à outil du traducteur débutant Cet article a été rédigé le 30 mai 2013 par Charles Danten, traducteur médical, basé à Montréal, dans Translator Café—Directory of Translators, Interpreters and Translation Agencies. (l'article n'existe plus) Les exemples sont tirés de son champ d’activité, la traduction médicale de l’anglais vers le français. Cet article permet aux membres d'Addic7ed d'avoir un aperçu du processus de base d'un traducteur professionnel. Les notes adaptées pour ce forum sont en italique et de couleur mauve. Merci à Deglinglau pour le tip ! LA BOîTE À OUTIL DU TRADUCTEUR DÉBUTANT 1. Introduction La traduction est moins un travail sur la langue et sur les mots qu’un travail sur le sens. Comme le souligne Florence Huberlot, peu importe le genre de texte à traduire, « l’opération traduisante comporte toujours deux volets : COMPRENDRE et DIRE. Il s’agit de déverbaliser, après avoir compris, puis de reformuler ou de réexprimer [HUBE2004]. » Pour le dire comme Maurice Rouleau, un traducteur médical renommé, « il ne suffit pas de connaître les termes, de comprendre les notions, d’insérer les termes techniques dans une langue générale, il faut savoir les enchainer dans un discours cohérent qui reflète les usages du domaine » [ROUL1995]. C’est sans doute pour le traducteur débutant, le défi le plus difficile à relever. Or, à moins d’avoir de la méthode et de connaître les ficelles du métier… sur le bout des doigts… c’est peine perdue. 2. Bonne forme physique et mentale Le métier de traducteur est exigeant physiquement et mentalement. Suivre le rythme n’est pas toujours facile. La qualité peut en souffrir si ce n’est pas la santé. Certes, les gestes répétitifs conduisent aux blessures dites occupationnelles, mais ce ne sont pas les seuls responsables, la position assise en soi pose également problème ; dans une étude épidémiologique récente, publiée dans le British Medical Journal, les chercheurs l’ont en effet associée à une baisse de longévité d’environ deux ans ; le cancer, le diabète et les accidents cardiovasculaires en seraient la cause [KATZ2012]. Il est donc important de cultiver une bonne hygiène de travail. Pour éviter les blessures et la fatigue, une bonne posture de travail est fondamentale. Alterner systématiquement la position debout avec la position assise est aussi une bonne idée. Plusieurs écrivains travaillent debout. Victor Hugo, par exemple, travaillait debout sur un pupitre en face de la mer dans sa maison de Guernesey où il était en exil. C’est debout qu’il a écrit Les misérables, par exemple, l’un des romans les plus célèbres de l’histoire. Dans les magasins spécialisés en ergonomie, on trouve désormais des bureaux ajustables qui se lèvent avec une simple manette. On peut aussi se mettre debout toutes les heures, par exemple, pour s’étirer les jambes et favoriser la circulation. En ce qui me concerne, je passe systématiquement d’une position à l’autre. Je me suis construit un pupitre à bonne hauteur que j’utilise avec mon portable lorsque je veux travailler debout. À force, j’ai même développé une préférence pour la position debout. 3. Connaître ses limites Avoir du travail est une bénédiction, mais en avoir trop peut conduire à l’épuisement professionnel. La prévention s’impose. Préférer la qualité à la quantité, facturer selon les normes du milieu, traduire dans son domaine, ne pas se laisser bousculer, bien planifier son temps, travailler dans une pièce réservée à cette fin, vivre selon ses moyens, se réserver des plages de repos, apprendre à relaxer, pratiquer des activités en dehors de son travail, faire de l’exercice physique régulièrement, bien manger et dormir, voir ses amis sont des moyens de prévention éprouvés. 4. L'informatique La traduction assistée par ordinateur est la norme dans cette profession. Un traducteur doit si possible apprendre à manier cet outil avec dextérité. En termes concrets : Apprendre par cœur les raccourcis clavier les plus employés pour sauver du temps, augmenter son efficacité et réduire l’impact des gestes répétitifs associés à la manipulation de la souris, par exemple. (lire notamment le post sur la majuscule accentuée) Développer son doigté au clavier. Un traducteur est en effet beaucoup plus efficace s’il peut taper avec ses dix doigts sans regarder le clavier. Cette dextérité augmentera son efficacité et réduira notablement le nombre de fautes d’inattention. On peut trouver en ligne des logiciels gratuits conçus à cette fin. Inutile de le répéter, une bonne connaissance de l’Internet, d’un ou de deux navigateurs et de la suite Microsoft est primordiale. Si le monde de l’informatique est un monde Windows, on peut très bien se débrouiller avec un Mac, y compris en traduction. C’est une bonne idée de commencer très tôt à travailler avec une mémoire de traduction (MT). Un grand nombre de donneurs d’ouvrage travaillent exclusivement avec ces outils pour des raisons de rentabilité. La tarification est pondérée en fonction du caractère plus ou moins flou (fuzzy match) des équivalents proposés. Selon l'Ordre des terminologues, traducteurs et interprètes agréés du Québec (sondage 2012), les traducteurs à la page gagnent environ 30 % de plus que les autres. À travail égal, en ce qui concerne l'économie de temps, une denrée de plus en plus rare, le traducteur « mécanisé » s'en tire beaucoup mieux que les autres. Ces outils sont particulièrement utiles pour traduire les PowerPoint et les textes répétitifs et passablement longs. Ils sont aussi utiles pour traduire des textes en .html. Ceux qui travaillent surtout sur le sens les trouveront utiles également, pour ne pas oublier de traduire une phrase. Cela dit en passant, à ma connaissance, Wordfast est la seule MT compatible avec Mac. 5. La documentation On ne soulignera jamais suffisamment l’importance de bien se documenter avant de commencer la traduction, sans toutefois exagérer. Une personne avertie en vaut deux est particulièrement vrai en traduction tant du point de vue de la rentabilité que de l’efficacité et de la qualité. Il n’est pas nécessaire de comprendre le sujet parfaitement, mais d’acquérir un minimum de connaissances pour être en mesure de bien rendre les notions qui sont décrites dans le texte source [JAMM1999]. Pour se documenter, le traducteur a deux grandes sources : a. La documentation intra textuelle On trouve souvent dans le texte source une réponse ou une explication à certains termes ou passages ambigus. Pour cette raison, « la principale source documentaire doit toujours demeurer le texte à traduire » [ROUL1994]. Il est toujours préférable de traduire les titres en dernier, par exemple, car c’est dans le texte que le traducteur trouvera leur signification. Avec la fonction Ctrl F/Command F, il est facile d’interroger le texte et de localiser rapidement les termes recherchés. b. La documentation extra textuelle Lorsque le texte source est muet, le traducteur doit faire une recherche ponctuelle ou thématique à l’extérieur. Comme le sujet de chaque paragraphe est souvent défini dans le sous-titre et la première phrase, un survol rapide est suffisant pour trouver les principales notions [PIME2013] [FRAN2001]. 6. Liste des références et de banques de données pour la traduction médicale [...] Les bitextes : Il existe de nombreux bitextes en ligne (textes alignés). Paradoxalement, même si les ayatollahs de la traduction les ont en sainte horreur du haut de leur tour d’ivoire académique, on peut parfois y trouver des solutions qui n’existent nulle part ailleurs. Ces sources secondaires sont relativement utiles pour trouver rapidement un cooccurrent, la traduction d’un mot en contexte ou d’une expression appartenant à la langue générale, mais la prudence s’impose ; ce sont uniquement des outils d’appoint qu’il faut employer avec circonspection, car on y trouve de tout et son contraire. En définitive, rien ne vaut les textes comparables de qualité (sources primaires) pour trouver la terminologie et la phraséologie propres à une spécialité. (Un exemple serait Linguee) 7. Maitrise de la langue d'arrivée Le traducteur doit non seulement connaître la langue du texte source suffisamment bien pour le comprendre et juger de sa qualité, mais il doit aussi maîtriser la langue de rédaction. Un spécialiste de la langue comme un traducteur professionnel doit faire le moins d’erreurs possible. Les correcteurs automatiques comme Antidote sont excellents, mais ne sont pas à toute épreuve, car ils n’éliminent pas l’obligation de vérifier les accords et la typographie, par exemple. Travailler avec un réviseur compétent est un bon investissement, car il est difficile de se réviser soi-même (voir l’article, L’importance des pense-bêtes pour l’apprentissage). En ce qui concerne la rédaction, on ne demande pas au traducteur d’être un écrivain, mais de savoir rédiger suffisamment bien pour écrire un texte élégant qui se tient et qui reflète le mieux possible la pensée de son auteur. 8. Bien connaître la langue de spécialité C’est à force de lire des documents spécialisés qu’on apprend la phraséologie et les subtilités propres à une spécialité. Comme le souligne Maurice Rouleau : « le traducteur doit fréquenter assidument les textes médicaux. Il doit être un bon observateur des faits de langue qui se distinguent de ceux rencontrés dans la langue générale [ROUL1995]. » C’est la seule manière de produire un texte de qualité qui ressemble à s’y méprendre à celui qu’écrirait un spécialiste. L’usage et les exigences du donneur d’ouvrage sont les seuls juges en la matière. Idéalement, pour faciliter sa tâche et acquérir un savoir-faire, le traducteur a tout intérêt à se spécialiser dans un seul domaine qu’il apprendra à fond. 9. Quelques notions de linguistique Quelques notions de linguistique ne sont pas superflues pour comprendre la manière d’effectuer le transfert des langues, notamment le rôle joué par les actants et les prédicats. Le choix des prédicats dépend des actants. Il est donc beaucoup plus important de trouver les bons équivalents des actants avant de se soucier du prédicat. En d’autres mots, la nature de l’actant est déterminante sur le choix du prédicat. Dans la phrase suivante, par exemple, tirée d’un article de Maurice Rouleau, in the case of renal failure, the dosage should be reduced, le choix du cooccurrent dépend de l’acception de l’équivalent du terme dosage, c’est-à-dire posologie, l’actant du prédicat reduced. Si posologie signifie « quantité totale d’un médicament estimée selon l’âge », le prédicat réduire convient, car une quantité peut être réduite, mais si posologie signifie « indication figurant sur une préparation spécialisée », on emploiera plutôt le prédicat modifié. Comme le dit Maurice Rouleau : « L’articulation du vocabulaire en discours est assurément l’aspect de la langue de spécialité le moins facile à maîtriser [ROUL1995]. » 10. Stylistique comparée de l’anglais et du français À moins de savoir les différences stylistiques entre les deux langues, il est difficile, voire impossible, d’opérer le transfert des langues sans chuter dans le transcodage et la perte de sens que cela présuppose. « La langue de départ tend à déteindre sur la langue d’arrivée, des constructions superficiellement comparables entre deux langues recouvrent souvent des relations sémantiques profondément différentes et que, d’une similitude de forme, il ne faut pas conclure à une similitude de sens [DELI2003]. » Dans cette perspective, Stylistique comparée du français à l’anglais de J.-P. Vinay et J. Darbelnet et La traduction raisonnée de Jean Delisle sont les bibles du traducteur novice. Quelques différences de style importantes : a. Comme l’anglais favorise le plan du réel tandis que le français favorise celui de l’entendement, pour que ce soit idiomatique, il faut parfois utiliser d’autres mots que les équivalents anglais. Dans d’autres cas, il ne faut pas tout dire comme le font parfois les Anglophones. Comme le souligne Jean Delisle dans La traduction raisonnée, certaines choses sont en effet évidentes et n’ont pas besoin d’être explicitées. Dans la phrase, l’oiseau est entré par la fenêtre, il est évident que l’oiseau est entré en volant ; il est superflu de le préciser comme le font les Anglophones : the bird flew in the window [DELI, p. 405]. « D’une façon générale, les mots français se situent généralement à un niveau d’abstraction supérieur à celui des mots anglais correspondants. Ils s’embarrassent moins des détails de la réalité [VINA, p. 58]. » « Les Anglais aiment saisir la vie dans son mouvement [ROUL1994]. » physician-assessed clinical signs = tableau clinique such as how a patient feels, functions or survives = l’état du malade their ability to inform clinical decision-making, and thus improve patient outcome = leur aptitude à améliorer la prise en charge et en définitive, le pronostic b. Juxtaposition/coordination vs Articulation/subordination Il est plus fréquent en anglais d’utiliser la coordination (d’où l’emploi fréquent de la coordination and) et la juxtaposition pour associer les idées. Tandis qu’en français on emploie plutôt la subordination et des articulations diverses, pour exprimer des liens logiques comme une conséquence, par exemple. « Chaque fois que les actions ne s’exercent pas sur le même plan, le français est peu enclin à indiquer un rapport de subordination par une simple coordination [DELI2003]. » Slow intestinal transit, as is frequently seen in CF [2, 3], could be aggravated by a high percentage of undigested food and may promote the accumulation of fecal material = Comme c'est souvent le cas dans la mucoviscidose [2,3], l'accumulation de matières fécales est favorisée par un transit intestinal lent, aggravé par un pourcentage élevé d’aliments non digérés. c. Comparatif elliptique ou faux comparatif « L’anglais emploie souvent un comparatif (mots en -er, better, funnier) qui n’en est pas vraiment un puisque l’autre élément de la comparaison est absent. On ne copie pas la structure originale puisqu’en français on n’emploie pas ce genre de construction [DELI2003, p. 354]. » [JAMM1999] Older people = les personnes âgées et non les personnes plus vieilles Generally occurs later in life = survient généralement tard dans la vie et non plus tard as patients become older = en vieillissant […] in more severe DIOS episodes = dans les épisodes gravissimes d. Négativation La langue française a une prédilection pour les constructions négatives. Traduire littéralement certaines formes affirmatives anglaises peut produire des énoncés français qui sonnent faux. « Le bon traducteur s’évertuera à atténuer au besoin les affirmations trop directes ou adoucira les impératifs en appliquant les ressources de la négativation [DELI2003, p. 415]. » these studies had different designs = ces études n’étaient pas conçues comme la nôtre Références :
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  15. There is a video with EIA-608 closed captions, but I’m unable to extract them. However, you may download the video with subtitles if you wish.
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  16. On voit que ce sont des quinquas qui sont aux manettes chez Netflix : ils viennent de commander un reboot de La petite maison dans la prairie. Ah, nostalgie... https://variety.com/2025/tv/news/little-house-on-the-prairie-reboot-netflix-1236289832/
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  17. Dans une interview donnée à CNN, l'acteur Djimon Hounsou (vu dans Gladiator, Guardians of the Galaxy, Captain Marvel... et surtout Blood Diamond) dit toujours galérer professionnellement et être sous-payé malgré deux nominations aux Oscars et 20 ans de carrière. https://variety.com/2025/film/news/djimon-hounsou-underpaid-struggling-to-make-a-living-1236272513/ Dans cette vidéo, il explique comment, grâce à sa fondation caritative, il reconnecte la diaspora des acteurs noirs (en particulier) avec leurs racines africaines : https://edition.cnn.com/2025/01/11/world/video/actor-djimon-hounsou-sparks-pan-african-unity-through-nonprofit
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